« Un concert de paroles où se mêlent théâtre, son et musique : Lymia Vitte, Saabo Balde et Jonathan Heckel se démultiplient rapidement en plusieurs figures, au sein de tout un peuple de micros et de projecteurs, tandis que Fred Costa, responsable de la composition musicale et sonore jumelée à la scénographie (de concert avec Clément Roussillat), organise à vue des tempêtes pour l’oreille et de savantes discordances, destinées à traduire, sur un mode sensoriel, le maelström d’épreuves, maritimes et politiques, que doit affronter le bateau salvateur. »
L’HUMANITE – Jean-Pierre Léonardini

 » Plus qu’un documentaire même parfaitement réalisé, cette création témoigne de la supériorité du spectacle vivant pour incarner un fait historique. »
UN FAUTEUIL POUR L’ORCHESTRE – Sylvie Boursier

« La scénographie de ce voyage au bout de la mer est extraordinaire de simplicité, d’originalité et d’efficacité. Aucun réalisme, tout est suggestion. Les comédiens travaillent leur théâtre sous nos yeux, ils s’activent comme de bons matelots dans la tempête et c’est par cette analogie sans reproduction que le spectacle devient poignant, corporel, chavirant, capable de rendre ce dont il parle sans le montrer. Gageons que leur trace restera longtemps en nous. »
SNES – Jean-Pierre Haddad

« Avec force convictions et dotés d’une folle énergie, les trois comédiens (Saabo Balde, Jonathan Heckel, Lymia Vitte) nous content de la voix et du geste cette dernière mission de l’Aquarius. Point de discours lénifiant ou compatissant au cœur de ce spectacle conçu par le collectif F71, une création artistique de belle et grande facture. »
CHANTIERS DE CULTURE – Yonnel Liégeois

« La pièce commence sans que vous vous en rendiez compte, avant même de vous asseoir et d’enlever votre manteau car vous êtes un personnage à part entière, le dispositif est ultra immersif grâce au son. (…) La scène est plongée dans une obscurité rouge carmin, celle du spot d’alerte qui clignote, celle du sang qui pulse dans les veines et on ressent la moiteur, l’humidité même, de l’océan. »
AMÉLIE BEAUCOUR – RFI